Pierre Jouvet, négociateur du PS dans les accords entre les différents partis de gauche français, lors de l’ouverture du conseil national du Parti Socialiste, le 5 mai 2022 à Paris.
Live terminé

Le conseil national du PS se prononce sur l’accord avec LFI, la majorité annonce ses 187 premières investitures aux législatives : l’actualité politique du 5 mai

Plusieurs membres du Parti socialiste sont opposés à cet accord. Les partis de la majorité ont présenté cet après-midi leur « confédération » en vue des législatives. Edouard Philippe a négocié cinquante-huit investitures pour son parti, Horizons.

Tout le live

Le 05/05 à 21:14

C’est la fin de ce direct consacré aux élections législatives et à l’actualité politique

Puisque vous nous suivez avec attention, vous savez que le conseil national du Parti socialiste débat en ce moment même de l’accord négocié avec La France insoumise, qui va être soumis au vote.

Ce direct est maintenant terminé, mais Le Monde vous tiendra bien sûr informés du résultat, comme du reste de l’actualité politique. Bonne soirée !

Le 05/05 à 21:08 Vos questions
Est ce que les adhérents du PS sont également consultés ?
Kasparov

Bonsoir Kasparov,

Non, les adhérents du Parti socialiste ne sont pas consultés sur l’accord avec La France insoumise. Patrick Mennucci avait fait la demande d’une telle convention nationale, mais sa motion a été rejetée, au motif, selon les autorités du PS, qu’elle n’est pas nécessaire pour que le parti se prononce.

Le 05/05 à 21:02

« Cet accord crée beaucoup de blessures, et pourtant nous sommes nombreux à le soutenir », déclare la socialiste Laurence Rossignol

Laurence Rossignol, sénatrice de l’Oise, prend la parole au conseil national du Parti socialiste, qui doit se décider quant à l’accord avec La France insoumise, en recommandant de ne pas se projeter « au-delà de ce qu’il mérite ». Pour elle, « c’est un accord électoral qui va nous permettre d’élire le maximum de députés socialistes. Ce n’est pas un contrat de gouvernement, c’est une démarche différente qui consiste à rassembler pour faire élire le maximum de députés de gauche ».

Cet accord « nous remet dans la gauche, et ramène la gauche dans le pays », soutient-elle. « Il met fin à une période dominée par deux discours : (…) j’observe avec un certain plaisir le retour de la gauche par rapport à Jean-Luc Mélenchon, et le retour de la gauche par rapport à Emmanuel Macron. »

« Cet accord crée beaucoup de blessures, dans tous les départements y compris le mien, et pour autant nous sommes nombreux à le soutenir », poursuit-elle, en référence aux socialistes qui auraient pu prétendre à une investiture mais devront laisser leur place.

« Pourquoi en sommes-nous là ? Parce qu’à un moment, le PS n’a plus été capable de faire cette synthèse, de réunir toutes les forces de gauche », remarque Mme Rossignol. A ses yeux, « LFI n’est pas la force centrale de la gauche, elle est juste momentanément la force dominante, c’est un moment à passer. »

« Il y aura toujours une gauche démocratique de progrès social. De nouveau nous sommes fréquentables. Nous étions perçus comme les créateurs du macronisme. Tant que ce soupçon pesait sur nous, nous ne pouvions prétendre incarner la gauche », ajoute-t-elle.

Julie Carriat
Le 05/05 à 20:48 Pour approfondir

La présidente de la région Occitanie s’oppose en tout point à l’accord entre son parti et celui de Jean-Luc Mélenchon. Elle a annoncé jeudi qu’elle voterait contre lors du conseil national du PS et soutient plusieurs candidats socialistes non investis dans sa région.

Lire aussi : Alliance PS-LFI pour les législatives : la socialiste Carole Delga s’oppose à cet accord et mène la fronde en Occitanie

Le 05/05 à 20:44

Au conseil national du PS, Hélène Geoffroy dénonce « le parachutage d’“insoumis” sur des terres socialistes »

La cheffe de file de l’opposition au premier secrétaire, Hélène Geoffroy, prend la parole au conseil national du PS, qui doit décider s’il accepte l’accord avec La France insoumise pour les législatives. Elle regrette d’abord l’absence d’une convention nationale pour se prononcer. Elle explique ensuite son appel à voter contre.

« Je ne pense pas que cet accord apporte plus de députés que si nous étions partis sous nos couleurs dans une union de la gauche respectueuse, dit-elle. Nous allons assister à un parachutage en règle de candidats “insoumis” sur des terres socialistes depuis si longtemps. »

« L’accord nous demande de nous excuser d’être ce que nous sommes et de faire repentance. Depuis le congrès d’Aubervilliers [en 2018, qui avait porté Olivier Faure à la tête du parti], la direction nous amène de renoncement en renoncement. Je ne souhaite pas que notre refondation se fasse en niant une partie de notre histoire. La radicalité de ce qui va se produire dès ce week-end, quand Jean-Luc Mélenchon prendra la parole, effraiera », prédit-elle.

« Cette aventure dans laquelle veut nous engager la direction est une impasse et nous le constaterons dès le 19 juin au soir. Je vous appelle à voter contre. »

Julie Carriat
Le 05/05 à 20:29

Au conseil national du PS, Christophe Clergeau juge « parfois nécessaire » de déroger aux directives de Bruxelles

Au conseil national du PS qui doit se prononcer sur l’accord proposé avec LFI, Christophe Clergeau, conseiller régional des Pays de la Loire, s’explique sur l’Europe et répond aux procès en compromission sur la politique internationale :

« Nous acceptons de déroger transitoirement à certaines règles européennes dans le respect de l’Etat de droit. C’est parfois nécessaire. Dois-je vous rappeler que la France n’a jamais – jamais ! – respecté le pacte de stabilité ? Nos électeurs nous demandent une action plus volontariste », dit-il, tout en se défendant de vouloir « détruire la construction européenne ».

Quant à l’Ukraine, « le texte [de l’accord] prend très clairement position : face aux atrocités de Vladimir Poutine, nous défendons la liberté de l’Ukraine », a-t-il dit. Comme sur « la République laïque et indivisible… : le combat contre tous les communautarismes ». « Ce texte sera opposable et nous pourrons l’opposer à LFI à chaque fois que ce sera nécessaire », a-t-il assuré. « Non, le Parti socialiste ne sera pas celui qui fait obstacle à l’unité de la gauche. »

Julie Carriat
Le 05/05 à 20:23

Les principales premières investitures de la majorité aux législatives

La liste des 187 premières investitures aux législatives de la majorité confirme notamment celles de :

  • Elisabeth Borne, ministre du travail, dans le Calvados ;
  • Gérald Darmanin, le ministre de l’intérieur, dans le Nord ;
  • Jean-Michel Blanquer, ministre de l’éducation, dans le Loiret ;
  • Richard Ferrand, président de l’Assemblée, dans le Finistère ;
  • Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, dans les Hauts-de-Seine ;
  • Clément Beaune, secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes, à Paris ;
  • Eric Woerth, député, dans l’Oise ;
  • Manuel Valls, ex-premier ministre, pour les Français de l’étranger ;
  • Emmanuelle Wargon, ministre déléguée chargée du logement, dans le Val-de-Marne ;
  • Amélie de Montchalin, ministre de la transformation et de la fonction publiques, dans l’Essonne ;
  • Oliver Dussopt, ministre délégué aux comptes publics, en Ardèche ;
  • Laurent Pietraszewski, secrétaire d’Etat chargé des retraites et de la santé au travail, dans le Nord.
Le 05/05 à 20:20 L’image à la « une »

Pierre Jouvet, négociateur du PS pour les accords entre les différents partis de gauche français, lors du conseil national du Parti socialiste, le 5 mai 2022, à Paris.
Le 05/05 à 20:10 Urgent

La majorité annonce ses 187 premières investitures aux législatives

On connaît les premiers noms des 94 candidates et des 93 candidats de la majorité à l’Assemblée nationale. Parmi eux notamment, Laurent Pietraszewski, le secrétaire d’Etat chargé des retraites et de la santé au travail, investi dans le Nord, ou Clément Beaune, le secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes, ou Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, dans les Hauts-de-Seine.

Le 05/05 à 20:04

« A un moment, il faut trancher », poursuit le négociateur du PS pour expliquer le partage des circonscriptions

Pierre Jouvet défend le résultat des négociations avec LFI :

Notre objectif : garder un groupe parlementaire pour nous permettre de continuer de compter dans le débat national, assurer notre place dans ce paysage. Nous sommes rentrés dans cette discussion dans une position de minoritaire où il a fallu sur tous les points ferrailler pied à pied sur tous les éléments pour que nous soyons respectés sur notre ancrage territorial, dans notre identité politique. Il y a eu des points d’accroche très violents dans la discussion.

« Bien sûr que ce n’était pas acceptable » que la députée PS Lamia El Aaraje soit exclue de l’accord, au motif que son élection a été invalidée (pour des raisons qui ne dépendent pas d’elle), a-t-il concédé. « Mais quand 90 % des sympathisants de gauche nous disaient rassemblez-vous, quand aucun candidat de gauche n’a accédé au second tour, c’était ça notre responsabilité », à savoir s’allier avec LFI, a-t-il soutenu.

« Je vous le dis et je l’assume, même si je connais toutes les douleurs : à un moment, il faut trancher », a-t-il poursuivi, précisant qu’il espère encore aujourd’hui « récupérer » cette circonscription.

Julie Carriat
Le 05/05 à 19:58

Le négociateur en chef du PS rappelle que « L’Union populaire représente 71 % des voix de gauche au premier tour »

Pour le négociateur en chef du PS avec LFI, Pierre Jouvet, « imaginer un accord avec L’Union populaire pouvait paraître éloigné » des valeurs socialistes : « Après plus de dix ans d’affrontement, de paroles excessives, ça ne paraissait pas naturel de se retrouver. »

« Nous sommes entrés en négociations avec plus d’une semaine de décalage par rapport aux autres partenaires », les écologistes, les communistes et le NPA, a-t-il rappelé. Or, « quand trois des parties prenantes ont acté un cadre, il n’est pas forcément évident pour le dernier entrant de ne pas accepter le cadre proposé », a-t-il défendu.

« L’Union populaire représente 71 % des voix de gauche dans ce premier tour de l’élection présidentielle », a-t-il souligné. « Il a fallu œuvrer pendant de nombreux jours pour déconstruire le choix politique de ne prendre que le résultat de l’élection présidentielle » comme matrice de la répartition des investitures aux législatives, a-t-il poursuivi, rappelant que « pendant des heures, des jours, des nuits », le PS a tenu bon en demandant 130 circonscriptions.

Julie Carriat
Le 05/05 à 19:52

Corinne Narassiguin : « Il faut retrouver le sens d’une radicalité qui a toujours fait l’histoire du PS »

Corinne Narassiguin est la première à prendre la parole au conseil national du PS. Pour la numéro deux du parti, « il faut retrouver le sens d’une radicalité qui a toujours fait l’histoire du PS en gardant ce que nous savons faire de mieux, proposer des solutions crédibles ».

« Ce que fait le PS est crucial, il y a une attente très forte que ce rassemblement réussisse et que nous en fassions partie », ajoute-t-elle.

La motion déposée par Patrick Menucci, opposé à l’alliance avec La France insoumise, pour convoquer une convention nationale du parti, a été rejetée. Mme Narassiguin explique que, « au sens des statuts, le conseil national est tout à fait habilité » à se prononcer sur un accord avec LFI. Ce point a été confirmé par une avocate, dit-elle.

Julie Carriat
Le 05/05 à 19:39 Pour approfondir

LRM va changer de nom, au sein d’une confédération des partis de la majorité

Avec le conseil national du PS, c’est l’autre temps fort de ce jeudi 5 mai. A l’occasion d’une conférence de presse commune avec le MoDem et Horizons, jeudi, le délégué général de La République en marche (LRM), Stanislas Guerini, a annoncé une « refondation » du parti, « qui a vocation à être ouvert » à tous.

Lire aussi : Législatives 2022 : les partis de la majorité lancent leur confédération « Ensemble », tandis que La République en marche devient « Renaissance »

Le 05/05 à 19:36

Le conseil national du PS, appelé à se prononcer sur l’accord avec LFI, commence

Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti socialiste, a annoncé sur Twitter l’ouverture des débats.

Le 05/05 à 19:34

Soirée cruciale pour le Parti socialiste, très divisé quant à l’alliance avec La France insoumise

Le Parti socialiste soumet, jeudi soir, à son parlement interne l’accord historique noué avec La France insoumise (LFI) pour les législatives. Une bataille intestine est en vue au moment où le parti menace d’imploser, plusieurs grandes figures rejetant l’alliance.

Le premier secrétaire Olivier Faure et ses lieutenants se sont épuisés à négocier, jour et nuit, un accord avec LFI, comme l’avaient auparavant obtenu écologistes et communistes, afin d’être en situation de sauver la plupart des députés sortants socialistes.

Mais le vote de ce texte à partir de 19 heures au conseil national, organisé en visioconférence et en présentiel au siège d’Ivry-sur-Seine, leur promet quelques sueurs froides. Il y a deux semaines, le conseil a voté pour donner mandat aux négociateurs dans les discussions avec LFI (160 voix pour, 75 contre, 10 abstentions). Depuis, la soixantaine d’élus qui n’avaient pas voté pourraient venir s’y opposer, et certains ayant voté favorablement pourraient changer d’avis.

Selon l’analyse de notre journaliste Julie Carriat, il y a plusieurs types d’opposition : celle des barons du PS (le hollandais Stéphane Le Foll, Bernard Cazeneuve, Jean-Christophe Cambadélis), celle des élus locaux à l’identité politique construite en partie sur le clivage avec LFI (notamment Carole Delga, la présidente de la région Occitanie, et Michaël Delafosse, le maire de Montpellier), et toute une génération de quadra socialistes pas certains de leur choix et un peu entre deux lignes politiques.

Plus d’informations dans cet article :

Lire aussi : Législatives 2022 : l’accord conclu avec LFI divise le Parti socialiste

Le 05/05 à 19:16 Vos questions
Bonjour ! Combien de circonscriptions sont réservées à LFI ? Les négociations avec le NPA sont-elles encore en cours ? Merci pour votre formidable travail de rédaction !
Écureuil92

Bonjour Ecureuil92, et merci pour votre formidable question.

Et maintenant, un peu de mathématiques (faciles). Les différents accords à gauche portent sur une centaine de circonscriptions pour les Verts, une soixantaine pour les communistes, et environ soixante-dix pour les socialistes. N’oublions pas le Nouveau Parti anticapitaliste, avec qui LFI est encore en négociations, qui s’est dit un peu déçu de n’obtenir, aux dernières nouvelles, que cinq investitures dans des circonscriptions jugées « non gagnables ».

Tout ceci laisse à La France insoumise quelque 340 investitures.

Le 05/05 à 18:56 Vos questions
Combien de circonscriptions a réussi à avoir Horizons ? Et le Modem ? Merci
NUPESforthewin
Quid des places aux législatives pour Agir, En commun, Territoires de progrès ou du parti radical ?
Clancyaddict

Bonjour,

Selon nos informations, le parti d’Edouard Philippe a obtenu 58 investitures aux législatives sous la bannière de la majorité présidentielle, tandis que le MoDem aurait obtenu de 100 à 110 circonscriptions, LRM s’en réservant autour de 400.

A trois partis seulement, voici de quoi présenter des candidats dans toutes les 577 circonscriptions… De fait, le devenir d’autres composantes de la majorité reste en suspens. Parmi elles : le petit parti de centre gauche Territoires de progrès ; son pendant de centre droit, Agir ; la chapelle écologiste En Commun ; ou encore le Mouvement radical.

Le 05/05 à 18:45 Pour approfondir

La gauche française vue de Bruxelles

Au sein des institutions communautaires, personne ne croit vraiment à l’arrivée de Jean-Luc Mélenchon à Matignon après les élections législatives. Mais l’accord conclu entre LFI et les autres partis de gauche suscite des questions au Parlement européen.

Pourtant, selon l’analyse de l’eurodéputé écologiste David Cormand, ce n’est pas tant « la position du PS et de EELV qui se rapproche de celle de Jean-Luc Mélenchon, mais celle de LFI qui se normalise sur les questions européennes ».

Lire aussi : Vue de Bruxelles, l’union des gauches française interroge et inquiète


Le 05/05 à 18:37

Le maire de Montpellier s’associe à la présidente de région pour dénoncer l’accord PS-LFI

Dans un tweet, Michaël Delafosse a apporté son soutien à la « Lettre à la gauche » écrite, plus tôt dans la journée, par Carole Delga, la présidente de la région Occitanie.

« Le rassemblement de la gauche est nécessaire, il doit se faire avec sincérité, cohérence et clarté, écrit-il. Il ne peut rompre sur des valeurs essentielles comme le projet européen, la laïcité. La gauche peut faire progresser la justice sociale si elle n’embrasse pas l’extrémisme. »

Le 05/05 à 18:30

Législatives : Laurent Jacobelli (RN), porte-parole de Marine Le Pen, candidat en Moselle

Laurent Jacobelli, porte-parole de la campagne présidentielle de la candidate du Rassemblement national (RN), a annoncé jeudi qu’il se présentait aux élections législatives dans la circonscription d’Hayange, en Moselle, ville symbole de la désindustrialisation, dirigée par le RN.

« Si vous me faites confiance pour être votre nouveau député, je m’engage à m’opposer à la politique du mépris, d’Emmanuel Macron, à voter contre la retraite à 65 ans, à refuser toute hausse de vos impôts ou de vos taxes et à défendre nos services publics », a-t-il fait savoir dans un communiqué. « Je me battrai aussi pour augmenter les effectifs de la police nationale dans nos villes. »

Ancien militant de Debout la France, M. Jacobelli a rejoint le RN en 2017. Il est élu au conseil régional de la région Grand-Est depuis 2021. Agé de 52 ans, il avait été candidat du parti d’extrême droite aux législatives de 2017 dans la 10circonscription des Bouches-du-Rhône. Il a choisi comme suppléant Fabien Engelmann, le maire d’Hayange depuis 2014, commune où Mme Le Pen a remporté 58,74 % des voix au second tour de l’élection présidentielle.

Le contexte

Live animé par Jérémie Lamothe, Brice Laemle, Marie Pouzadoux et Julien Lemaignen

Image de couverture : Pierre Jouvet, négociateur du PS dans les accords entre les différents partis de gauche français, lors de l’ouverture du conseil national du Parti Socialiste, le 5 mai 2022 à Paris. STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

Un direct quotidien. A l’occasion des élections législatives, Le Monde tient un direct quotidien pour vous informer sur la campagne et ses nombreux rebondissements, avec le suivi des déplacements et des prises de parole des candidats, l’analyse de leurs propositions, des tchats avec des journalistes du Monde et des spécialistes…

A l’agenda du jeudi 5 mai

Vote. Le Parti socialiste (PS) soumet à son conseil national l’accord noué avec La France insoumise (LFI) pour les législatives. Le vote de ce texte, à partir de 19 heures, par le parlement du parti est organisé en visioconférence et au siège, à Ivry-sur-Seine.

Dans le poste. Le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, est l’invité de BFM-TV et de RMC à partir de 8 h 30. Le député Alexis Corbière (LFI) sera sur CNews à 8 h 15. Le président des Républicains, Christian Jacob, est l’invité de France Inter à partir de 8 h 20.

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