Le front nord sur la zone frontalière entre Israël et le Liban est plus que jamais sous tension. La journée du dimanche 12 novembre aura été “la plus tendue” depuis le début des hostilités entre le Hezbollah libanais et Israël, le 8 octobre, au lendemain de l’attaque sanglante du Hamas sur le sol israélien et de la riposte de l’État hébreu, écrit le journal libanais L’Orient-Le Jour.

Ainsi, le parti chiite armé pro-iranien a revendiqué deux attaques de missiles contre des cibles militaires dans les localités israéliennes de Dovev et de Manara, situées à moins de un kilomètre de la “ligne bleue”, qui fait office de frontière terrestre entre Israël et le Liban, faisant plus d’une dizaine de blessés. De leur côté, les Brigades Al-Qassam, la branche armée du Hamas, ont annoncé des tirs depuis le Liban-Sud sur les localités de Shlomi, de Nahariya et d’Haïfa.

Des opérations qualifiées de “frappes qualitatives” par le quotidien libanais Al-Akhbar, proche du Hezbollah et soutien de l’“ax