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Le basque et le corse arrivent sur Google Traduction (mais pas le breton)

Google a annoncé l’ajout de 33 nouvelles langues à son application de traduction. Deux langues régionales françaises font ainsi leur apparition.

L’objectif est d’atteindre les 1000 langues disponibles. Pour faire suite à ses annonces de début novembre, Google a ajouté 33 nouvelles langues dans son application Google Traduction. Le groupe permet désormais de traduire le basque ou le corse, alors que le breton manque toujours à l’appel.

Google Traduction est désormais disponible pour le basque
Google Traduction est désormais disponible pour le basque © Capture d'écran
Google Traduction est désormais disponible pour le corse
Google Traduction est désormais disponible pour le corse © Capture d'écran

Une meilleure contextualisation

Parmi les autres langues proposées, il est maintenant possible de traduire des textes en hawaïen, en hmong, en kurde, en latin, en luxembourgeois, en soudanais, en yiddish ou encore en zoulou. L’autre bénéfice de cette mise à jour, c’est de pouvoir enregistrer davantage de langues au sein de l’application. En le faisant, Google Traduction n’a plus besoin d’être connecté pour déchiffrer des mots.

L’entreprise assure avoir revu à la hausse la contextualisation des traductions de l’anglais, du français, de l’allemand et du japonais. L’application comprendra également mieux l’espagnol dans les mois à venir.

"Que vous souhaitiez trouver le bar le plus proche ou commander du bar au restaurant, vous pouvez vous appuyer sur le contexte pour trouver la bonne traduction et utiliser les tournures, les expressions et la terminologie adaptées", confirme Google dans une note de blog.

Aussi, l’application iOS pour les appareils d’Apple profitera d’ici quelques semaines des améliorations déjà apportées à la version Android. Ces modifications de design doivent permettre d’offrir un cadre plus grand lors de l’utilisation avec Google Lens. Cela doit engendrer une intégration plus facile des contenus, mais aussi améliorer l’accessibilité des points d’entrée.

Pierre Monnier