Depuis le 7 Octobre, et l’attaque du Hamas contre Israël, des dizaines de plaintes ont été déposées pour «apologie du terrorisme» contre des personnalités françaises. Et les procédures suivent visiblement leur cours : comme le rapportait Libération, Rima Hassan a appris vendredi 19 avril sa convocation à la Direction nationale de la police judiciaire afin d’être entendue librement, le 30 avril. Cela pour des faits «d’apologie publique d’un acte de terrorisme, commise au moyen d’un service de communication au public en ligne», qui se seraient produits entre le 5 novembre et le 1er décembre.
Dans de nombreux cas, les plaintes pour des faits d’antisémitisme ou d’apologie du terrorisme ont été déposées par l’exécutif, par des hommes et des femmes politiques, ou par de simples citoyens. Dans d’autres, le parquet peut choisir d’entamer des poursuites même en l’absence de plaintes.
D’après la militante franco-palestinienne et candidate LFI a