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Israël : pourquoi une opération terrestre dans la bande de Gaza s’annonce particulièrement complexe

Un char israélien dans la région de Sdérot, proche de la bande de Gaza.
Un char israélien dans la région de Sdérot, proche de la bande de Gaza. RONALDO SCHEMIDT / AFP

DÉCRYPTAGE - Si Israël lance une opération sur Gaza, elle devra faire face à de nombreux défis.

«Nous allons lancer une attaque massive contre le Hamas ». Le message envoyé lundi par le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a le mérite de la clarté. Chaque lieu où opère le groupe terroriste «sera une ruine», promet-il, après le massacre perpétré sur le sol hébreu par la formation islamiste. Cette entreprise a en réalité déjà commencé. Depuis samedi, Tsahal mène l’opération «épées de fer» qui consiste, pour l’heure, à bombarder les positions stratégiques du Hamas dans la bande de Gaza : tunnels, dépôts, ateliers de fabrication de roquettes, postes de commandement ou encore habitations de cadres du mouvement sont ciblés et détruits.

Mais il est difficilement concevable d’imaginer Israël se limiter à ces frappes, si meurtrières soient-elles : la réponse militaire doit être proportionnelle au traumatisme causé par le Hamas. «C’est ce qu’attend l’opinion publique israélienne», souligne Pierre Razoux*, directeur académique de la Fondation méditerranéenne d'études stratégiques…

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37 commentaires
  • philippe emile

    le

    Les Russes ont pris Berlin en 15 jours défendu par 650 000 hommes et 1500 chars avec sur place beaucoup de SS fanatisés alors bon Gaza .. cela devrait être faisable . Pour en faire quoi après c’est autre chose .

  • neo observateur

    le

    Comme le disait Caton Delenda Gaza

  • Squall Leonhart

    le

    C'est devenu une évidence que la guérilla urbaine serait difficile pour une armée moderne. Mais vous oubliez que Gaza est sans eau courante ni électricité. Après une semaine de bombardements à vivre dans le noir, même le plus motivé des terroristes ne fera pas long feu. Sans parler des drones, des tanks et de la probable prise de positions des grands axes. Bref, un article écrit pour faire peur...

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