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Koba LaD dans la tourmente. Encore. Le rappeur de 23 ans, qui vient de purger une peine de quatre mois de prison pour avoir participé à une bagarre dans une boîte de nuit parisienne fin 2022, fera à nouveau face à la justice pour des faits de violences et séquestration. L'artiste est en effet accusé d'avoir participé au tabassage et à la séquestration de son manageur, révèle Le Parisien. Ces faits remonteraient au printemps 2022, juste avant que Deuspi – surnom du manageur – ne dépose plainte en juillet de la même année.
La victime présumée a raconté à la police avoir été tabassée et séquestrée durant plusieurs heures dans une maison en Seine-et-Marne. Coups de cross de revolver, coups de couteau… Des violences qui l'auraient laissée en sang et lui auraient même fait perdre connaissance. Sa compagne était présente, indique Le Parisien.
200 000 euros extorqués
Pour sortir de cet enfer, Deuspi a expliqué à la police avoir dû verser 200 000 euros à ses bourreaux, mais également signer une rupture de contrat entre lui et Koba LaD. Le récit des faits, tel que Deuspi l'a établi, a été jugé crédible par les enquêteurs, rapporte Le Parisien, d'où la convocation de Koba LaD devant la justice au mois d'octobre. Trois complices présumés l'accompagneront.
Selon Le Parisien, si Koba LaD a pu être identifié comme membre de ce commando punitif, c'est par l'intermédiaire d'écoutes en prison. La police aurait équipé sa cellule de micros, parvenant à entendre le rappeur avouer les faits à son codétenu. « Il a porté plainte deux mois après qu'on lui a cassé la gueule », aurait-il notamment déclaré. Cette affaire a mis fin à la relation de confiance qu'entretenaient Koba LaD et Deuspi depuis des années. Le second a aidé le premier dans sa carrière d'artiste, mais également dans sa vie. Aucune partie n'a souhaité s'exprimer publiquement ou par l'intermédiaire de leurs avocats.
Statistiques : les joueurs de haut bois et de violoncelle paraissent moins présents au tribunal (de l’ordre de zéro). Peut être que certaines musiques adoucissent davantage les mœurs que d’autres. (du reste, les effets sur la qualité du travail en fonction du type de musique est tout à fait documenté. Il y a donc bien un lien entre activité cérébrale et type de musique).
Sur le principe d’accord avec vous, mais l’exemple Charles Trenet n’est pas des mieux choisis…le fou chantant ayant laissé derrière lui un bruit de casseroles liées à la pédophilie…
Décidément le "Rap" est une école de classe, d'élégance, de bon goût, de civisme... Toussa toussa... Bref, l'avenir !.