Emmanuel Macron lors de son discours en ouverture du conseil des ministres du nouveau gouvernement Borne au palais de l’Elysée, le 21 juillet 2023.
Live terminé

Remaniement : revivez la prise de parole d’Emmanuel Macron détaillant les priorités du gouvernement pour la rentrée

Le chef de l’Etat a ouvert le conseil des ministres en détaillant les sujets « d’urgence » pour cet été : « réponse profonde » aux émeutes, sécheresse, prix de l’énergie et accès aux soins. Il a promis un « cadre exigeant » pour les finances publiques dès la rentrée, et demandé aux membres du gouvernement d’être exemplaires car « être ministre, ce n’est pas parler dans le poste ».

Le 21/07 à 12:50

Fin de notre direct

Nous terminons ici ce direct consacré au remaniement et à la prise de parole d’Emmanuel Macron en conseil des ministres, dont vous pouvez retrouver les éléments dans l’article ci-dessous. Merci pour votre lecture et votre participation. A bientôt sur Lemonde.fr

Lire aussi : Emmanuel Macron réaffirme sa « confiance » à Elisabeth Borne et fixe ses priorités pour la rentrée

Le 21/07 à 12:40

Emmanuel Macron a pris la parole, vendredi midi au lendemain d’un remaniement ministériel. Il a listé les quatre grandes priorités de son équipe pour les quatre années restantes de son quinquennat.

Le 21/07 à 12:19

Fin de l’allocution d’Emmanuel Macron

Le propos introductif d’Emmanuel Macron au conseil des ministres est terminé, le conseil se poursuit avec une prise de parole d’Elisabeth Borne, sans la présence des caméras.

Le 21/07 à 12:02 Sur le terrain
Emmanuel Macron lors de son discours en ouverture du conseil des ministres du nouveau gouvernement Borne, au palais de l’Elysée, le 21 juillet 2023.
Conseil des ministres du nouveau gouvernement Borne au palais de l’Elysée, le 21 juillet 2023.
Conseil des ministres du nouveau gouvernement Borne au palais de l’Elysée, le 21 juillet 2023.

Le 21/07 à 11:59

Emmanuel Macron sur la « méthode » de son gouvernement : « Etre ministre, ce n’est pas parler dans le poste »

Emmanuel Macron a tenu une partie de son propos introductif en s’adressant directement aux ministres, à qui il a voulu détailler « un mot de méthode » quant à sa vision de leur rôle. « Vous êtes regardés dans tous les détails, si je puis dire, de votre action, de vos expressions, de votre vie (…). Dans des temps où la violence langagière, parfois les comportements inappropriés prennent trop de place dans la vie publique, il est attendu du gouvernement de la France d’être exemplaire et de rendre les Françaises et les Français fiers », a considéré le président de la République, avant de poursuivre en insistant sur la nécessaire efficacité de leur action – « Les décisions n’arrivent pas suffisamment vite dans la vie de nos compatriotes », a-t-il notamment déclaré.

Le tout suppose, selon le chef de l’Etat, que « les ministres dirigent leur administration. Etre ministre, ce n’est pas parler dans le poste ». « Il faut diriger les administrations indispensables jusqu’au plus près du terrain : administration centrale, administrations locales. Et plus on déconcentre, plus on met les décisions au service du terrain, plus on a des résultats probants », a insisté Emmanuel Macron, terminant cette séquence en encourageant ses ministres à collaborer avec les parlementaires de la majorité et des oppositions pour que l’adoption des textes souhaités par l’exécutif soit envisageable pour les prochains mois.

Le 21/07 à 11:55

Emmanuel Macron souhaite mettre en place à la rentrée un « cadre exigeant » pour les finances publiques

Le président de la République évoque ensuite les dossiers importants qui seront traités par le nouveau gouvernement à la rentrée.

D’abord, la mise en place d’un « cadre exigeant » et la mise en « ordre » des finances publiques dans le projet de budget pour 2024. Cela passe notamment par « une gestion efficace de nos déficits », souligne-t-il. Evoquant la « crédibilité de la France en Europe », il déclare que cette exigence, « seule, peut nous permettre d’être forts ».

Autres chantiers qui attendent l’équipe dirigée par Elisabeth Borne : la planification écologique ; la question de l’immigration, « avec un texte solide », qui y réponde de façon « pragmatique ».

Emmanuel Macron souhaite aussi une « réponse complète et profonde » aux émeutes qui ont suivi la mort de Nahel M., 17 ans, tué par un policier lors d’un contrôle routier le 27 juin à Nanterre. Mettant en avant le « risque de fragmentation et de division » de la société, le chef de l’Etat invoque un « besoin d’autorité, de respect et d’espérance légitime », en appelant une nouvelle fois à la responsabilité des parents : « Ce n’est pas à l’école de tout faire. »

Le 21/07 à 11:45

Quatre sujets « d’urgence » pour l’été selon Emmanuel Macron : reconstruction après les émeutes, sécheresse, prix de l’énergie et accès aux soins

Le président de la République liste désormais les sujets « d’urgence » des prochaines semaines. Emmanuel Macron aborde les suites des émeutes urbaines du début du mois de juillet, en saluant la rapidité de l’examen de la loi sur la reconstruction par le Parlement et les avancées des procédures judiciaires en cours, avant d’appeler à poursuivre le travail sur l’accompagnement des enfants et des familles dans les quartiers touchés par les violences. Viennent ensuite la sécheresse et les risques d’incendies, dossier dont les ministres Christophe Béchu et Gérald Darmanin sont responsables. Les deux autres « urgences » selon Emmanuel Macron sont l’augmentation des prix de l’énergie d’accès aux soins.

Le 21/07 à 11:40

Emmanuel Macron réaffirme « avec clarté » sa « confiance » à Elisabeth Borne 

« J’ai choisi la continuité et l’efficacité pour les temps qui viennent en réaffirmant avec clarté ma confiance à la première ministre », affirme Emmanuel Macron, en ouvrant le premier conseil des ministres de la nouvelle équipe gouvernementale.

« Vous avez traversé les budgets, la réforme des retraites, des textes importants en matière d’énergie et d’économie et puis mis en œuvre la feuille de route des “cent jours” », dit-il. « Le cap est clair et simple », ajoute-t-il, en pointant « l’indépendance du pays pour pouvoir consolider un modèle plus juste ».

Le président de la République liste ensuite les différentes avancées qui ont, selon lui, marqué le début de son second quinquennat : « le chômage [qui] continue de baisser » ; « nous réindustrialisons » le pays notamment en « continu[ant] de rouvrir des usines » ; « nous avons posé les jalons d’une transformation profonde de notre système scolaire » ; dans le domaine de la santé, la généralisation du service d’accès au soin, etc.

S’agissant de la transition écologique, « nous avançons à marche forcée », assure Emmanuel Macron, qui réaffirme son engagement dans la lutte contre le changement climatique.

Le chef de l’Etat mentionne ensuite la loi de programmation militaire 2024-2030, définitivement adoptée par le Parlement à la mi-juillet, ainsi que le texte allouant plus de moyens à la justice, qui « pose les jalons de cet ordre républicain auquel nous croyons ».

Au cours des derniers mois, « plus de lois ont été passées qu’il y a six ans », résume-t-il.

Le 21/07 à 11:32

Le président de la République commence son propos introductif du conseil des ministres

Emmanuel Macron a pris la parole depuis l’Elysée, entouré du gouvernement et de la première ministre, Elisabeth Borne.

Le 21/07 à 10:59

Les passations des pouvoirs sont terminées, le conseil des ministres doit débuter à 11 heures

Outre François Braun et Aurélien Rousseau, Jean-François Carenco a passé le relais au député MoDem Philippe Vigier au ministère de l’outre-mer, vendredi matin. Gabriel Attal, devenu ministre de l’éducation hier soir, a effectué la transition avec le député Thomas Cazenave au ministère des comptes publics. Les membres du gouvernement sont en train d’arriver à l’Elysée pour le conseil des ministres, qui doit débuter à 11 heures par une prise de parole publique d’Emmanuel Macron.

Le 21/07 à 10:55 Sur le terrain

Aurélien Rousseau, nouveau ministre de la santé : « Nous devons entrer dans le temps des preuves »

La passation des pouvoirs entre François Braun et Aurélien Rousseau s’est tenue vendredi peu après 9 heures, dans le hall du ministère de la santé, avenue de Ségur. L’occasion, pour les ministres sortant et entrant, de rappeler leur cap partagé : la lutte contre les inégalités dans l’accès aux soins.

« Emotion », « modestie », « gravité », « détermination » : c’est sous ces auspices que l’ancien directeur de cabinet d’Elisabeth Borne a placé son arrivée dans ce ministère qu’il connaît bien, après avoir dirigé, durant la crise sanitaire, l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France.  « Nous devons entrer maintenant dans le temps des preuves », a-t-il insisté.

Aurélien Rousseau a d’abord rendu un hommage appuyé à son prédécesseur – « un homme d’exception, d’engagement, de courage » –, avant de décliner quatre convictions. « Je ne vais pas présenter ce matin de feuille de route, ce serait présomptueux », a-t-il averti.

Première conviction du nouveau ministre : défendre le système de protection sociale et de santé, « notre bien commun », a-t-il martelé. Deuxième axe : « faire travailler » ensemble ville et hôpital, médecins et autres professionnels de santé, prévention et soin… « La crise du Covid a montré que nous savions être plus grands que les prés carrés », a-t-il argumenté. Un appel à la cohésion des différents acteurs de la santé, à l’heure où l’été s’annonce de nouveau difficile à l’hôpital comme en ville. Troisième conviction : « Faire confiance à ce qui émerge en [guise de] solution, du terrain », a-t-il prôné, dans la lignée des concertations locales menées, tout au long de l’année écoulée, dans le cadre du Conseil national de la refondation santé, levier porté par l’Elysée. Le quatrième et dernier axe d’action s’inscrit également dans la continuité : l’énarque a défendu le volet « prévention » de son nouveau périmètre, inscrit dans l’intitulé du ministère depuis l’arrivée de François Braun, il y a un an. « La prévention, ce n’est pas un supplément d’âme, ce qu’il faut faire quand on a réussi tout le reste », a-t-il souligné. Mais c’est « le premier des combats contre les inégalités sociales et territoriales ». L’un des derniers engagements pris par son prédécesseur porte précisément sur cet enjeu : François Braun a annoncé, le 19 juillet, lors des questions au gouvernement, que les nouveaux rendez-vous de prévention proposés par l’Assurance-maladie à trois âges-clés de la vie bénéficieront d’abord aux 45-50 ans à compter du 1er octobre.

« Face aux inégalités croissantes d’accès aux soins, je crois sincèrement que par nos actions nous avons stoppé cette descente aux enfers, (…) il nous faut maintenant remonter vers la lumière, et cela ne se fera pas sans les professionnels de santé », a relevé François Braun. « Je suis soulagé de laisser cette belle administration et cette rude tâche à quelqu’un comme vous. Ne lâchez rien », a-t-il dit à son successeur.

Mattea Battaglia et Camille Stromboni
Le 21/07 à 10:04 Sur le terrain
Le nouveau ministre de la santé, Aurélien Rousseau, lors de la passation des pouvoirs, le 21 juillet 2023.
L’ancien ministre de la santé, François Braun, quitte le ministère lors de la passation des pouvoirs, le 21 juillet 2023.
Lors de la passation des pouvoirs entre Aurélien Rousseau (à gauche) et François Braun, au ministère de la santé, le 21 juillet 2023.
Le 21/07 à 10:03

Aurélien Rousseau succède à François Braun au ministère de la santé : « C’est un ministère qui doit apporter des réponses à tout un monde qui réclame, avec justesse, du sens »

L’ancien directeur de cabinet d’Elisabeth Borne à Matignon et ancien directeur de l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France, Aurélien Rousseau, est devenu ministre de la santé, vendredi matin, prenant le relais de François Braun avenue Duquesne. Après un court échange en privé, les deux hommes ont pris la parole, chacun à son tour, devant leurs équipes et les journalistes.

« Ce ne fut pas un chemin pavé de roses, mais ce ne fut pas non plus une traversée des enfers », a dit François Braun lors de son allocution, après avoir remercié Emmanuel Macron de lui avoir proposé ce poste l’année dernière. L’urgentiste a longuement déroulé son bilan, mentionnant notamment « la réussite » du Conseil national de la refondation santé et de ses déclinaisons territoriales, avant de livrer sa réflexion quant au rapport de force entre monde médical et monde politique : « Je suis un membre de la société civile. Ce n’est pas une maladie honteuse, et je le revendique haut et fort. Si l’on qualifie parfois le monde politique de rude – rudesse toute relative quand vous la comparez à la vie, la souffrance, la mort que côtoient quotidiennement les soignants –, gardons-nous que ce monde ne devienne aveugle à la réalité. Gardons-nous de diagnostics mal étayés et de traitements inadaptés, souvent pires que le mal. Je pense avoir œuvré pour éviter, ou au moins limiter, cette cécité, et je continuerai, à ma modeste échelle, à le faire. »

Pour sa première prise de parole en tant que ministre, Aurélien Rousseau a salué le parcours de son prédécesseur et insisté sur « l’émotion » qui était la sienne à son arrivée dans ce qu’il considère être un « ministère des crises ». « Ce n’est pas un ministère où les crises se succèdent juste sur le point de vue sanitaire, c’est aussi un ministère qui pilote et qui doit apporter des réponses à tout un monde qui réclame, avec justesse, du sens », a considéré M. Rousseau. « Emotion, gravité, beaucoup de modestie aussi », a-t-il insisté, précisant que cette « modestie (…) se liera avec une absolue détermination, une très grande résolution. Ce n’est pas le contraire de l’écoute ou du dialogue, mais c’est la volonté farouche qui sera la mienne que l’on entre partout, à l’hôpital comme en ville, dans le temps des preuves. »

Le 21/07 à 09:55 Sur le terrain
Arrivée de l’ex-ministre François Braun et de son successeur, Aurélien Rousseau, au ministère de la santé avant leur discours, le 21 juillet 2023.
Le 21/07 à 09:14

L’éditorial du « Monde »

Sacrifice des ministres issus de la société civile, mobilisation des macronistes de la première heure. Si le gouvernement gagne en professionnalisme, il reste sans feuille de route.

Lire aussi : L’étrange remaniement du gouvernement Borne 3

Le 21/07 à 08:12 Pour approfondir

Pour Pap Ndiaye, l’exercice du pouvoir s’est vite révélé une épreuve

Le ministre de l’éducation nationale n’a pas été reconduit lors du remaniement annoncé jeudi. C’est le ministre chargé des comptes publics et fidèle d’Emmanuel Macron, Gabriel Attal, qui le remplace rue de Grenelle.

Lire aussi : Pap Ndiaye quitte le gouvernement, la faillite d’un symbole

Le 21/07 à 08:10

Rousseau-Cazeneuve : « Pas un problème [ni] une polémique », selon Olivier Véran

Quelques minutes plus tard, toujours sur « Télématin », Olivier Véran a été amené à commenter le fait que la compagne du nouveau ministre de la santé, Aurélien Rousseau, est Marguerite Cazeneuve, directrice déléguée de la Caisse nationale d’assurance-maladie. « A titre personnel, je ne considère pas qu’avoir partagé sa vie avec quelqu’un qui a la même passion professionnelle que vous et qui connaît très bien les politiques de santé soit un problème ou une polémique », a déclaré M. Véran avant de poursuivre : « Nous avons une autorité pour la transparence de la vie publique, une autorité indépendante qui devra statuer. Marguerite Cazeneuve (…) travaille au service du public, elle n’est pas dans une entreprise privée. Donc, il faut regarder dans cette situation les décisions qu’il y a lieu de prendre. »

Notre journaliste Ivanne Trippenbach écrivait hier, dans notre article à retrouver ci-dessous, qu’Aurélien Rousseau a avisé le secrétariat général du gouvernement et consulté la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique sur ce sujet. « Il n’y a aucun sujet juridique », a assuré M. Rousseau au Monde, en précisant qu’il se déportera « de toute décision individuelle qui pourrait éventuellement la concerner »« Elle n’a pas attendu que je sois à Matignon pour y être et pas plus que je sois ministre non plus », ajoute le conseiller d’Etat, qui saisira formellement la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique après la passation des pouvoirs.

Lire aussi : Aurélien Rousseau, l’ex-directeur du cabinet de Matignon devenu ministre de la santé

Le 21/07 à 08:07

Olivier Véran : « Certains parlent de remaniement ; d’autres, d’ajustements. Je parlerais de renforcements »

Olivier Véran, maintenu ministre délégué auprès de la première ministre et porte-parole du gouvernement, a défendu dans l’émission « Télématin », sur France 2, vendredi matin, les changements opérés par Emmanuel Macron et Elisabeth Borne. « Certains parlent de remaniement ; d’autres, d’ajustements. Je parlerais de renforcements », a dit l’ancien ministre de la santé en saluant « des élus d’expérience, des élus de terrain ». Il a notamment cité les arrivées du maire de Dunkerque, Patrice Vergriete (au logement) et de Sabrina Agresti-Roubache, députée de Marseille (à la ville).

Interrogé par le journaliste Jeff Wittenberg sur « un constat d’échec des ministres de la société civile », Olivier a loué l’action de Pap Ndiaye à l’éducation avant de considérer qu’« il n’y a pas d’école de ministre et être ministre, c’est être capable de faire et de faire savoir. Et c’est aussi pouvoir tenir le débat politique de l’Hémicycle ». « Il y a énormément d’attentes de la part des enseignants », a-t-il poursuivi en citant Gabriel Attal, nouveau ministre de l’éducation, et en rappelant que les priorités de ce dernier seraient « le respect de l’autorité, les savoirs fondamentaux » et « la proximité avec le milieu éducatif ».

Le 21/07 à 08:01 Pour approfondir

Un remaniement partiel et politique

Le renouvellement signe l’échec de personnalités de la société civile engagées en 2022, comme Pap Ndiaye et François Braun, qui ont été remplacées par des députés, des figures de la Macronie et des proches du président.

Lire aussi : Remaniement : huit arrivées pour un nouveau gouvernement Borne au profil plus politique

Le 21/07 à 07:50

Conseil des ministres : le propos introductif d’Emmanuel Macron retransmis à 11 heures

Les passations des pouvoirs se poursuivent, vendredi matin, notamment à l’avenue Duquesne et à Bercy, où Gabriel Attal passe la main au député Thomas Cazenave, désormais chargé des comptes publics. Emmanuel Macron, de son côté, préside le premier conseil des ministres de la nouvelle équipe d’Elisabeth Borne, à 11 heures, et son propos introductif sera retransmis en direct.

Le contexte

Image de couverture : Emmanuel Macron lors de son discours en ouverture du conseil des ministres du nouveau gouvernement Borne au palais de l’Elysée, le 21 juillet 2023. CYRIL BITTON/DIVERGENCE POUR « LE MONDE »
  • La présidence de la République a annoncé, jeudi 20 juillet en fin de journée, un remaniement partiel de l’équipe gouvernementale. Au total, onze portefeuilles ministériels ont changé de titulaire, trente restent entre les mêmes mains.
  • Huit nouvelles personnalités, dont Aurélien Rousseau, l’ancien directeur de cabinet d’Elisabeth Borne à la santé, font leur entrée au gouvernement. Huit membres le quittent, dont Marlène Schiappa (secrétaire d’Etat à l’économie sociale et solidaire), François Braun (ministre de la santé) et Pap Ndiaye (ministre de l’éducation), ce dernier étant remplacé par Gabriel Attal, jusqu’alors ministre du budget.
  • Emmanuel Macron, de son côté, a pris la parole publiquement en introduction du conseil des ministres, vendredi en fin de matinée. Le chef de l’Etat a réaffirmé sa confiance en Elisabeth Borne et fixé ses priorités pour l’été et la rentrée.

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