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La Russie a mené vendredi matin une « attaque massive » avec des missiles et des drones kamikazes, « touchant » plusieurs sites énergétiques en Ukraine, a affirmé l'armée ukrainienne, après une tournée en Europe du président ukrainien Volodymyr Zelensky pour réclamer plus d'armes à ses alliés. Selon l'armée de l'air ukrainienne, la Russie a tiré « 6 missiles de croisière Kalibr », « jusqu'à 35 missiles guidés antiaériens S-300 sur les régions de Kharkiv et Zaporijia » et utilisé « 7 drones Shahed ». « L'ennemi a frappé les villes et les infrastructures essentielles de l'Ukraine », a-t-elle indiqué dans un communiqué. Aucune victime n'a été rapportée à ce stade par les autorités ukrainiennes.
Cette nouvelle attaque russe d'ampleur sur les installations énergétiques ukrainiennes intervient au lendemain de visites remarquées de Volodymyr Zelensky à Londres, Paris et Bruxelles pour exhorter ses alliés européens à lui fournir des missiles de longue portée et des avions de chasse, essentiels, selon lui, pour pouvoir mener des contre-offensives face à la Russie.
À LIRE AUSSI Guerre en Ukraine : ces armes qui font la différenceDepuis octobre dernier et après de multiples revers sur le terrain, Moscou vise fréquemment des sites ukrainiens dits « essentiels », plongeant des millions d'habitants dans le froid et le noir, en pleine période hivernale.
Des « coupures préventives d'urgence » mises en place
Rapidement, l'opérateur électrique ukrainien Ukrenergo a indiqué vendredi matin que, « malheureusement, plusieurs infrastructures à haute tension ont été touchées dans les régions de l'Est, de l'Ouest et du Sud, ce qui a entraîné des pannes de courant dans certaines régions ».
À LIRE AUSSI Les scénarios de la guerre sous-marineLes Russes « ont ciblé les centrales électriques et les installations du système de transmission », a précisé Ukrenergo dans son communiqué. « Des coupures préventives d'urgence sont mises en place », a-t-il ajouté, une mesure prise fréquemment lors d'attaques similaires ces derniers mois pour éviter une surcharge sur le système électrique national.
À Zaporijia (sud-est), « une partie de la ville est sans électricité », a indiqué sur Telegram le secrétaire du conseil municipal, Anatoly Kourtev, selon qui, « en une heure, 17 frappes ont été enregistrées dans la ville, (soit) le plus grand nombre depuis le début de l'invasion » russe il y a près d'un an. « Tenons bon », a-t-il exhorté à l'attention de la population civile.
Obligent-elles l’agressé à faire le premier par vers la paix en déposant les armes ?
Vous vous rêvez en petit Poutine : pousser l’agressé à demander l’armistice, déposer les armes, demander pardon de s’être laisser agresser, et promettre de le refaire à l’occasion.
Dites bien à votre maître Poutine que c’est lui l’agresseur et que c’est à lui de se retirer hors des frontières ukrainiennes.
C’est le premier pas vers un armistice régulier ; l’ennui avec Poutine c’est que la vérité c’est le mensonge et que le mensonge c’est la vérité, rhétorique héritée du communisme auquel il a sans doute adhéré en tant que komsomol.
Les propositions de paix du Japon aux USA devaient passer par l’intermédiaire soviétique ; Staline a mis le doc sous le coude, s’est emparé des Kouriles et de la Sakhaline, sans tirer un seul coup de fusil, et c’est seulement son coup fait à la barbe du monde qu’il a transmis le doc japonais.
Les cocos ont plus d’un tour dans leur sac, on le découvre encore avec Poutine, qui ment sans mentir tout en mentant : c’est dans les gènes communistes.
"Par Marble le 10/02/2023 à 13 : 43
@ Pasquinel : pour compléter Aveltan : ce sont les Russes qui ont défait les Allemands en 45, beaucoup plus que les Alliés. Si ceux-ci avaient été seuls contre les Allemands, comme après la révolution bolchevique de 1917, la guerre aurait duré beaucoup plus longtemps... "
1. Grace au pacte GERMANO-SOVIETIQUE ; Hitler a pu concentrer toutes ses troupes contre l'Europe de l'Ouest
2. Sans l'immense quantité de matériel US fourni aux soviétiques, la guerre aurait duré beaucoup plus longtemps.
3. Et, pitié, ne me parler des sacrifices de l'armée rouge ; les chefs n'ont jamais eu, comme aujourd'hui, le moindre souci d'épargner leurs hommes.
comme disait Staline : "le soldat soviétique est consommable"